Sport

Adapter sa nutrition sportive selon musculation, cardio ou endurance

Bien manger pour bien s’entraîner ne veut pas dire suivre une règle figée. On n’a pas les mêmes besoins pour pousser lourd, pour faire monter le cœur ou pour tenir des heures. L’idée est simple, ajuster l’assiette au type de séance, choisir des aliments faciles à digérer et garder des repères clairs pour l’avant, le pendant et l’après. On cherche de l’énergie qui dure, une récupération nette et des repas qui s’installent sans prise de tête.

Musculation, construire et récupérer

En force, on vise des protéines régulières et des glucides suffisants pour recharger les séries. Une répartition qui fonctionne bien tourne autour de 25 à 35 % de protéines, 35 à 45 % de glucides, 25 à 30 % de lipides. Avant la séance, un bol de riz avec poulet et légumes croquants passe très bien. Après, on mise sur une source protéique visible et un féculent simple, par exemple omelette, pommes de terre rôties et salade. Certains gagnent en praticité avec un shaker rapide, d’autres préfèrent un yaourt épais et un fruit, le résultat compte plus que la forme.

Quand les journées sont serrées et que le repas tombe tard, une protéine en poudre ou un mélange simple de créatine peut dépanner, on voit souvent des sportifs choisir HSN pour garder la main sur les dosages et la saveur, l’important reste de couvrir l’apport du jour et de dormir avec une digestion tranquille.

Cardio, allumer sans s’essouffler

Le cardio a besoin de carburant vite mobilisable, on augmente légèrement les glucides. Une base à 45 à 55 % de glucides, 15 à 25 % de protéines, 25 à 30 % de lipides tient la route. Trente à soixante minutes avant, une tranche de pain complet avec beurre de cacahuète et banane donne de l’élan sans lourdeur. Si la séance est matinale, yaourt grec et flocons d’avoine font le job. Après l’effort, on recharge vite avec un bol de semoule, thon à l’huile d’olive et tomates, simple, salé, efficace. On pense aussi aux petites choses qui changent tout, boire par petites gorgées, respirer plus lentement au retour au calme, garder une collation prête dans le sac pour éviter le grignotage à l’aveugle.

Endurance, tenir la distance

Sur des sorties longues, l’objectif est de préserver les réserves et d’éviter le mur. On monte les glucides à 50 à 60 %, on garde 15 à 20 % de protéines et 20 à 25 % de lipides. La veille, un dîner facile à digérer fait la différence, riz et saumon, filet d’huile d’olive, légumes tendres. Le matin, porridge d’avoine avec miel et quelques noix, café si tu l’aimes, eau en priorité. Pendant l’effort, on alterne boisson sucrée légère et bouchées simples, dattes, compote, petits morceaux de barre moelleuse, l’idée est de nourrir sans remuer l’estomac. À l’arrivée, on remet du sel et de l’eau, puis un repas chaud qui réconforte, pâtes al dente, légumineuses ou pain complet, une portion de volaille ou de tofu, un filet d’huile pour la tenue.

Timing, organisation et petites astuces

Le timing évite bien des soucis. Un repas complet deux à trois heures avant laisse le temps de digérer. Un snack plus court se place quarante cinq minutes avant et reste minimaliste. On ajuste les fibres selon l’intensité, un peu moins avant un effort très nerveux, un peu plus les jours calmes pour la satiété. Préparer deux bases à l’avance change la semaine, céréales cuites au frais, légumes déjà rôtis, une source de protéines prête. On assemble en cinq minutes, on mange bien, on récupère mieux. Et l’on garde l’envie de s’entraîner parce que l’assiette suit le mouvement sans compliquer la vie.

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